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5 Commentaires

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    • Claude Divoux sur 1 juin 2013 à 19 h 53 min

    « Il semble que depuis plusieurs années ils aient choisi leur camp… mais qu’ils soient suffisamment habiles pour ne pas trop le montrer, pour combien de temps encore ???? »

    Quel camp ?

    Merci

    Claude D

      • admin sur 2 juin 2013 à 9 h 57 min
        Auteur

      Malheureusement, les élèves, les jeunes sont d’abord des consommateurs. Ils ont choisi leur camp, sans forcément le savoir, mais ils acceptent la société de consommation, vivent avec et évitent de trop le montrer dans le monde scolaire. En fait ce propos vise à poser la question d’une jeunesse qui déborde le monde scolaire en vivant des valeurs à l’opposé de la pensée dominante dans le monde scolaire, les valeurs marchandes. Si cela est visible dans les comportements de mode (vêtements, équipements hi tech, …) cela ne transparait pas trop dans un milieu scolaire ambivalent : permettre la réussite individuelle au sein d’un collectif.
      On peut discuter le terme choix… mais il y a un moment de l’éducation où chacun de nous passe à l’action et donc fait des choix. Il me semble que notre société ayant accepté globalement une idéologie plutôt libérale (hormis aux extrêmes), le poids de la société marchande s’accentue dans les esprits et devient un fait non contestable, presque naturel.
      Chacun de nous peut examiner sa manière d’être, son individualisme, son rapport à la consommation, à l’argent à la réussite. A partir de cet examen, on peut mesurer plus explicitement ce que nous « portons ». Les jeunes portent la société de consommation, dont les zélateurs ont réussi un formidable « rapt des esprits ».
      L’esprit BYOD (apportez vos propres matériels au travail) pourrait arriver dans l’école. Après les subventions, après les obligations d’achat, arrive cette nouvelle tendance : puisque vous avez votre matériel, utilisez le !!!
      A suivre et à débattre

    • Goas sur 4 juin 2013 à 14 h 53 min

    Un absent,semble-t-il, dans la galerie : l’ingénieur ou le chercheur qui conçoit et met au point ces nouveaux dispositifs matériels et virtuels.
    Ses motivations sont sans doute multiples. Elles se situent sans doute entre deux extrêmes. Un philanthropisme absolu quant il souhaite sincèrement aider les autres par ces technologies qu’il développe. Un mercantilisme abouti quand il permet d’apporter à la société qui l’emploie de substantiels profits.
    La tentation également de mettre en oeuvre certaines idéologies. Ainsi internet a été conçu par des personnes qui souhaitaient faire valoir les notions d’échange et de partage. En témoigne les premières applications comme le mail, les forums, les listes de discussion … A contrario qu’elle vision de l’amitié a aiguillé le développement de Facebook ?
    A débattre
    Ronan Goas

      • admin sur 4 juin 2013 à 14 h 56 min
        Auteur

      Tout à fait d’accord. Pour aller dans ce sens, il faut aller voir du coté de la sociologie des usages et celle de l’innovation.
      En tout cas ces personnes sont clés dans la conception des produits. cela méritera un plus long développement

      Bruno

    • Exercice sur 21 février 2014 à 15 h 43 min

    Je partage exactement le même avis que Ronan Goas,

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